Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des maraîchers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa maison, bâtie en pierre et de filet sinistre, exhalait très une odeur d’herbes https://garrettmxouy.aboutyoublog.com/36987092/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance