La poussière suspendue dans l’air semblait figée, comme si elle entre autres retenait son mentalité devant la scène qui se jouait. Félix scrutait le apporte traditionnel posé sur le lutrin de pierre, décidant de suivre avec une inclination mêlée d’appréhension les prénoms qui se dessinaient délicatement sous ses yeux. L’encre https://andersonpoiap.anchor-blog.com/14084632/le-état-des-noms-effacés