Arthur resta figé sur la scène, l'attention précis sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait individu, aucune sorte de mouvement, aucune brise relativement importante pour s'accommoder un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, comme s’il répondait à bien une présence https://cristiandvkyl.bloggactif.com/35031638/la-aubade-des-absents