La demeure oubliée se dressait au dessus d’une colline, balayée par les vents glacés de Roumanie. Ses murs en pierre, rongés par le temps, semblaient enregistrer encore les murmures d’une temps séculaire. Personne n’osait s’y aventurer, mais pour Adrian, un bon en disgrâce, cet repère représentait son dernier refuge. Chassé https://josuethsyg.liberty-blog.com/33939267/les-cartes-sans-physionomie