Le train filait via la nuit, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un calme presque irréel. Aucun panneau, aucun paysage intuition ne défilait par la fenêtre, tels que si la locomotive traversait un espace suspendu entre le physique et l’inconnu. Le passager sentit le wagon pervibrer mollement par-dessous https://gregorylwbef.canariblogs.com/les-numéros-du-destin-48795949