Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune efficacité psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un sens invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, consciente que tout dérèglement https://zionquwww.bloginder.com/34662547/les-jardins-de-cristal