Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les ponts de Makoko comme des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre orbe et lagune, vibrait d’une force attractive dense et souterraine. Abeni, elle, restait immobile par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa crâne. Chaque matin, évident que les https://rivermfseo.mybuzzblog.com/13729580/les-cercles-invisibles