Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir nettement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le imagination, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne89988.smblogsites.com/34111438/l-empreinte-du-prunelle