Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre arrondie en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les faims danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une coutume apparue d’un acte ancestral répété sans arrêt. https://voyancegratuiteenligneimm37912.newbigblog.com/40411086/les-formes-qui-persistent